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Artefact

1:09 minutes (2.11 Mo)

 écoute en ligne

 

Thymes

1:23 minutes (2.55 Mo)

 écoute en ligne: http://www.mp3c.cc/search/Pascale+Criton

La ritournelle et le galop

1:01 minutes (1.87 Mo)

 

écoute en ligne: http://www.mp3c.cc/search/Pascale+Criton

Croisements musique-image

description:

Ecoute en ligne Séminaires du CDMC 2006 Les noces de la musique et de l'image

http://www.cdmc.asso.fr/multimedia/noces.htm

 

jeudi 28 septembre 2006 de 10h à 18h - Cdmc
Spectacle et multimédia : de l’émergence à la reconnaissance
Journée conclusive

Après avoir traversé la France de Toulouse à Marseille en passant par Lyon, et après des collaborations parisiennes avec CinéSong au Forum des Images ainsi qu’avec la BNF et l’ENS, ces rencontres nomades sur les nouvelles interactions entre la musique et l’image s’achèvent au CDMC où elles trouvèrent leur origine.
Cette dernière rencontre tentera tout d’abord un bilan critique de ce qui a pu être observé et analysé pendant ces deux années, et tentera notamment de préciser comment la situation a évolué durant cette période.
Ce sera enfin l’occasion de revenir et de conclure sur les principales problématiques qui se sont dessinées et précisées au fur et à mesure des rencontres : comment se renouvellent les conditions de la production, quels sont les outils théoriques disponibles, et enfin, quels sont les enjeux de ces écritures croisées entre musique et image ?


Quels enjeux pour les écritures croisées musique – image ?
S’interrogeant sur les différences entre écriture musicale et écriture de l'image, peut-on tenter d’expliquer les difficultés théoriques à penser ces nouveaux objets esthétiques, et ainsi commencer à les dépasser ?
Jean Lambert-Wild, metteur en scène
Pascale Criton, compositeur
Patrice Hamel, artiste plasticien et professeur de scénographie - ENSATT
Philippe Langlois, France Culture

Filigrane

description:

Ecoute en ligne, émission "A nouveau la musique", France Culture, 28/01/07

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/anouveau_mus... "A nouveau la musique" de Gérad Gromer, France Culture, 28 janvier 2007

avec Pascale Criton, Thierry Blondeau, Jean-Marc Chouvel et Jean-Luc Hervé

à l'occasion de la parution du N° 4 de la revue Filigrane

En guise de synthèse

description:

Ecoute en ligne Séminaires du CDMC 2005 Articulations :

http://www.cdmc.asso.fr/flash/html/10saison/seminaires/semi0405.htm

Séminaire du Cdmc 2004-2005

Articulations

sous la direction de Jean-Marc Chouvel,
en collaboration avec l’Instant Donné

 

Le 25 janvier 2005
Peut-il y avoir de nouvelles émotions musicales ?
Avec : Laeticia Cuen, psychologue, compositrice ; Pascale Criton, compositrice ; Laurent Torrès, compositeur ; Jean-luc Leroy, musicologue

La question de l’émotion a probablement été le repoussoir contre lequel s’est construit la musique moderne, à l’aube du vingtième siècle. On pense au célèbre "ma musique n’exprime rien" de Stravisnky ou aux Choses en soi, opus 45 dans lesquelles Prokofief cherchait peut-être, comme l’écrit Jankélévitch, "à atteindre un objet musical pur sans passer à travers l’a priori déformant de la psychologie affective."
Le problème est sans doute justement celui de l’a priori. Il y a, et la psychologie du vingtième siècle ne s’en est pas toujours démarqué, une typologie des affects, et des possibilités de manipuler le comportement psychique. Mais cette typologie limite-t-elle définitivement le champ de "l’éprouvable" ? L’émotion musicale est-elle cantonnée à un code "conditionné" comme celui pratiqué par certaines musiques de film ? La musique est-elle condamnée à un perpétuel ré-éprouvé, ou il y a-t-il au contraire une relation fondamentale entre imagination et émotion ?
Ces questions sont de vraies questions pour la psychologie actuelle. Ce sont aussi de vraies questions pour l’esthétique et pour la composition. Si l’émotion musicale se renouvèle à chaque écoute, dans chaque contexte, on ne peut guère prétendre en maîtriser l’écriture. L’émotion est-elle visée consciemment par le compositeur ? Est-elle le résultat d’une sollicitation émotive préalable ? S’agit-il simplement d’un potentiel d’évocation du vécu affectif antérieur ? Ne peut-elle alors être vécue que comme une régression ? Les témoignages (par exemple ceux rapportés par Gabrielson) montrent que ce sujet est particulièrement complexe.

J.M. Chouvel